
Y’a des matins comme ça, on ferait mieux de rester au lit.
Dessins, peintures et BD par Belzaran
Y’a des matins comme ça, on ferait mieux de rester au lit.
Ces gens en confinement qui ne travaillent pas, qui n’ont pas d’enfants à gérer, mais qui sont débordés. Mais que font-ils donc ?
Ça devient un classique. Quand les infos nouvelles qui changent tout tombent pendant tes réunions.
Au milieu de tous mes nouveaux projets graphique, je n’oublie pas La Prépa !
Continuer la lecture de « La Prépa #39 »Pourrais-je seulement leur dire adieu ?
Maintenant, il nous reste tous les autres épisodes à regarder… Et y’a de quoi faire avec toute la série American Pie sortie en DVD…
Je continue mes peintures sur le thème du confinement. Voilà le crayonné de celle en cours, la quatrième :
Il faut croire qu’en l’absence de l’activité humaine habituelle, les humains manquent au pigeon…
J’ai continué ma peinture hier, voilà où elle en est à ce stade.
La peinture en question est en-dessous. C’est une ébauche, c’est-à-dire que j’ai posé avant tout les éléments avec leurs couleurs approximatives. Il y a encore beaucoup de boulot de composition, puis de détails. La peinture a une taille plus grande que d’habitude également, c’est du 30×40 cm.
Quand je m’ennuie suffisamment, je finis devant la télé. C’est rare.
Et quand je retrouve de la motivation, je fais du dessin :
« Désolé, Robert, y’a un problème technique, on ne t’entend plus… »
Un portrait au crayon en bonus aujourd’hui :
Vivement la reprise des cours… Ou pas.
Comme vous avez été sages, vous avez droit à un dessin supplémentaire :
Étant donné les remarques freudiennes que j’ai pu avoir hier en dessinant ma mère en koala (ce qui est le cas depuis 10 ans), j’imagine que vous allez pouvoir vous en donner à cœur joie pour ce dessin…
Ça me rappelle mon début de confinement où on avait fini le champagne en mangeant des toasts de homard… Faut croire que mes parents ont des plus grandes réserves que moi.
Quand, petit à petit, on devient agoraphobe…
Parce qu’il faut bien rester sexy en forme pendant le confinement.
Quand tu tombes bien bas…