
Avant que la randonnée ne commence, vous pouvez lire en préambule ma nouvelle Au pays des Géants sur les montagnes norvégiennes. Un avant-goût de la suite en quelque sorte !
C’est ici que ça se lit : Au pays des Géants.
Bonne lecture !
Dessins, peintures et BD par Belzaran

Avant que la randonnée ne commence, vous pouvez lire en préambule ma nouvelle Au pays des Géants sur les montagnes norvégiennes. Un avant-goût de la suite en quelque sorte !
C’est ici que ça se lit : Au pays des Géants.
Bonne lecture !
Ce qui est bien à la rentrée, c’est que les cours reprennent. Avec grand plaisir, j’ai retrouvé l’atelier BD qui va me permettre de booster ma productivité. Cela faisait une semaine que j’attendais de retrouver une table lumineuse afin de dessiner ma prochaine planche. Cette dernière propose en effet un plan fixe de trois cases. C’est donc exactement le même décor, vu du même point, qu’il faut dessiner trois fois (à quelques nuances près quand même).
Dessin – Calque – Table lumineuse
Réaliser le décor n’était pas trop difficile puisqu’il est construit sur une symétrie centrale. C’était juste laborieux. Une fois que c’était fait, j’ai décalqué l’ensemble. Puis, à la table lumineuse, je l’ai reproduit dans les deux autres cases, apportant les retouches nécessaires. J’ai simplement ajouté les personnages et les textes en toute fin de production.

Pour la première case, j’ai réalisé le personnage sur le calque, ayant peur d’effacer trop de parties de décors. J’ai déjà parlé de cette technique, adaptée lorsque l’on dessin son décor avant le personnage. Pour les deux cases du bas, les personnages sont vraiment intégrés au décor et ont été faits directement sur la planche.

Il ne me reste plus qu’à encrer la page, ce qui est plus facile à dire qu’à faire. En effet, j’aimerais une ambiance de nuit pour les cases 2 et 3 et je suis incapable de faire ça… Voilà le résultat actuel avec un décor densifié et plus fourni en détail.


Tous avec Nico pour la médaille de bronze !

Voilà enfin le retour d’Alexis ! Premier refuge à l’accueillir, Gjendesheim !
Les parties en anglais sont faites exprès. C’est un choix d’artiste, certes un peu élitiste, mais qui est là pour plus de réalisme. Et j’ai toujours détesté les BDs qui mettaient des textes en anglais et les traduisaient en bas de page. L’idée ici est de partager le désarroi d’Alexis, si vous ne comprenez pas tout c’est pas très grave.
Autre chose : si j’ai fait des fautes de syntaxe en anglais, n’hésitez pas à me les signaler. Tel Alexis, je ne suis pas vraiment bilingue.

Après une pause estivale pour s’aérer l’esprit et retravailler le storyboard, il était temps de revenir aux affaires sur Jotunheimen. Ça tombe bien, car c’est justement l’arrivée d’Alexis dans le bien-nommé Jotunheimen qui va relancer la machine. On commence donc enfin la randonnée !
Je profite de l’occasion pour rappeler (ou apprendre) que j’ai ouvert un Tumblr absolument déserté appelé L’atelier de Belzaran sur lequel je mets des crayonnés. N’hésitez pas à y faire un tour de temps en temps. Je signale les publications dessus sur Facebook, mais tout le monde n’y traîne pas !

Oh mais c’est une nouvelle illustration de Laura !


Voilà ma participation pour le concours jeunes talents de Quai des Bulles. Le thème était si j’avais un million… J’ai donc choisi le million d’élèves (un côté maso certainement !) plutôt que le million d’euros !
Il est intéressant de voir qu’avec la contrainte des deux pages, je suis revenu à ma narration typé Tout à l’Ego (la BD, pas le blog hein !). Trois ans en arrière donc quand même.

Je pense que c’est ma dernière illustration de Laura.
Enfin… Jusqu’à la prochaine…

Comme ça avait l’air de vous plaire, j’ai fait une nouvelle aquarelle encrée au pinceau.

Avec la rentrée scolaire, il est temps pour moi de me remettre à Jotunheimen. Mais plutôt que de faire une planche, je me suis dérouillé le poignet en dessinant Laura, elle qui possède une sensualité toute… animale !
Plus sérieusement, comme pour beaucoup d’illustrations, j’en profite pour travailler le trait au pinceau. Si je reviens plus tard à un dessin moins réaliste, j’espère pouvoir réaliser un projet au pinceau, car c’est de loin le trait que je préfère.
Ici, j’ai essayé de bien travailler les épaisseur de trait pour mieux donner les volumes. Par exemple, les traits sont plus épais lorsqu’ils correspondent à une zone plus sombre (souvent vers le bas, assez logiquement). L’un des raté est le haut du mollet du dessus, trop épais alors que très lumineux. Ce n’est pas encore parfait, mais je commence à progresser. Voilà la version noir et blanc :

Pour l’aquarelle, j’ai fini par saisir qu’il me fallait poser un fond d’ensemble. J’ai donc acheté le pinceau adéquat et les illustrations ont ainsi un peu plus d’ambiance. Il faut ajouter à ça que je dessine mes aquarelles uniquement sur du papier 300g/m² pour que ça arrête de gondoler. Je mets beaucoup moins de temps à scanner et à retoucher ensuite.